Pour ce mois de mars, à mon tour, Calliope de vous présenter mon jeu coup de cœur: Super Mario World 2 : Yoshi’s island.
Petites informations sur Super Mario World 2 : Yoshi’s island:
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Les points forts :
Synopsis:
La cigogne livre Mario Mario et Luigi Mario, quand soudain elle est attaquée par le magicien Kamek. Mario tombe, Luigi est enlevé. Mario atterrit sur Yoshi qui déduit que les jumeaux sont « télépathiques » donc il doit passer Mario aux autres Yoshi sur le chemin que ce dernier leur montre. (Ce scénario est bien entendu bidon)
Été 2003, il fait très chaud.
Dans les Vosges, après avoir profité de la nouvelle GBA que m’a offerte ma mamie, je découvre Link to the past.
Cependant, j’ai bientôt fini le jeu et je demande à mon papa si je peux avoir d’autres jeux. Il m’en ramène trois. Men in black: plateforme, action sympa mais sans grande ambition. Le genre de jeu aussi vite joué qu’oublié. Prince of Persia qui m’a pas mal tenu en haleine.
Et le Graal: Le portage du jeu Yoshi’s island sur GBA.
Et quel jeu! On commence avec cette intro en «semi trois dimensions», rendu possible sur SNES grâce à la puce Super Fx à l’époque, qui permet d’afficher des effets sympathiques à quelques endroits du jeu. Ces effets auront disparu sur les passages de la GBA: la console ne peut malheureusement pas tous les émuler, mais cela ne change en rien à la grande qualité du jeu.
En 1995n on a accès à la 3D grâce à la PLAYSTATION et la SATURN.
Pourtant, NINTENDO nous gratifie d’un jeu de plateforme, qui marque le pinacle technique de la SNES,et bouscule ses propres codes en matière de gameplay.
Yoshi ne mange pas de champignons, il plane, cours et pond des œufs.
Ces même œufs deviennent le cœur du gameplay, car il permettent de tuer certains ennemis et d’atteindre des blocs inaccessibles autrement.
Exit la cape et autres costumes dont, on avait l’habitude.
Ici ce sont les œufs qui priment.
Le bestiaire change également et le Maskass devient l’ennemi principal de la série Yoshi. On retrouve également de très petits et agaçant singes, un vrai fléau.
Pour varier le jeu, pourtant déjà riche, on découvre des transformations variées (voiture, sous-marin, taupe, hélicoptère) qui confèrent à Yoshi, pour un temps donné, des facultés inédites. Le jeu inclut même du ski!
En explorant, on ramasse de petites étoiles qui permettent de sauver bébé Mario quand on est touché. En effet, seule la lave, les trous et les piques tuent les Yoshi.
Lorsqu’ on est touché par un ennemi, bébé Mario s’envole dans une bulle en pleurant et il nous reste un compteur pour le récupérer, correspondant aux nombres d’étoiles restantes. A la fin du compteur, on perd une vie.
Bébé Mario peut également se transformer en Super Mario lors de certains passages pour courir le long des murs, toujours dans cette recherche de renouveler l’expérience.
Enfin à l’instar des étoiles (qu’on peut avoir jusqu’à trente), on doit ramasser vingt pièces rouges et cinq fleurs. On obtient alors par niveau un score sur 100 qui débloque ou non des niveaux bonus et des minis jeux.
Ces minis jeux sont si rigolos qu’on peut y jouer à deux! Accrochez-vous sur les niveaux bonus, dont la difficulté est bien plus élevée que les niveaux classiques
Même les Boss sont tous sympas. Le Koopa qu’on met en slip, le Mainate sur la lune ou encore Obélix (nofake). En somme: que du bon.
Ce jeu est une leçon. Il est beau, complet, il a su créer sa propre franchise, et 20 ans après je fredonne encore ses musiques.
Un grand merci pour ce jeu fabuleux qui reste pour moi un des meilleurs jeux de plateforme 2D. J’aime les Yoshi, et ce, de toutes les couleurs <3